Le blog de Back in business

L’art d’être consultant : entre exigence de recul et obsession du concret

Le mot consultant suscite autant de fascination que de scepticisme. Tour à tour perçu comme expert éclairé, facilitateur du changement ou porteur de PowerPoint verbeux, le consultant cristallise les attentes – et parfois les désillusions – des dirigeants comme des équipes.

Mais derrière les caricatures, être consultant est un métier. Un vrai. Un métier exigeant, à la croisée du savoir, du savoir-être, de l’écoute active et de la stratégie opérationnelle. Un métier qui s’apprend, se cultive, se remet sans cesse en question.

Le consultant est avant tout un tiers actif. Il ne se substitue ni au dirigeant ni aux équipes, mais il interroge, éclaire, structure et provoque. Sa légitimité vient de son expérience, de sa capacité à poser les bonnes questions au bon moment, de sa posture d’écoute et de recadrage, ainsi que de son apport méthodologique et stratégique. Il n’impose pas, il accompagne un cheminement dans le respect du contexte et des objectifs réels du client.

Le savoir technique ne suffit pas. Le bon consultant se distingue par sa posture : curiosité bienveillante, assertivité respectueuse, neutralité active, esprit de synthèse, capacité à dire non. Être consultant, c’est accepter de déranger, de poser les questions que personne n’ose formuler, mais de le faire avec tact, humilité et impact.

La force du consultant repose sur sa capacité à rendre ses idées opérantes. Il doit structurer une démarche, délivrer des livrables clairs et exploitables, passer du diagnostic à la recommandation, puis à l’accompagnement de la mise en œuvre. Dans un monde pressé, le consultant doit accélérer la prise de décision sans sacrifier la rigueur de l’analyse.

Le bon consultant ne vend pas une solution toute faite. Il conçoit une réponse adaptée à la culture, aux enjeux et aux ressources de l’organisation. Il sait adapter les méthodes au terrain, simplifier le complexe, et ne pas confondre outil et solution. Son rôle est souvent de faire émerger les bonnes réponses en interne, en donnant du sens, de la lisibilité et de la confiance.

Un bon consultant vise à rendre son client autonome. Il ne crée pas de dépendance, il transmet, il forme, il provoque des déclics. Il sait se retirer au bon moment. La clé, c’est une relation fondée sur la confiance, la transparence, et le respect mutuel.

Loin des caricatures du consultant PowerPoint, le consultant d’aujourd’hui est un artisan du changement, qui manie autant les outils que le dialogue, autant la data que la dynamique humaine. Il n’est ni un sauveur, ni un exécutant. Il est un accélérateur de lucidité et d’action, au service de ses clients.

Et s’il fallait résumer son art en une phrase, ce serait peut-être celle-ci : un bon consultant, ce n’est pas celui qui a toutes les réponses, mais celui qui aide ses clients à poser les bonnes questions.

L’IA générative, dont les usages explosent depuis l’émergence d’outils comme ChatGPT, DALL·E ou Gemini, bouleverse déjà de nombreux secteurs. Les ressources humaines, longtemps perçues comme un domaine fondé sur la relation humaine et la subjectivité, n’échappent pas à cette révolution. Entre automatisation, personnalisation et gain de temps, les promesses sont grandes. Mais elles soulèvent aussi des questions éthiques, managériales et organisationnelles.

1. Qu’est-ce que l’IA générative ?

L’IA générative désigne des modèles capables de produire du contenu original (textes, images, sons, vidéos, code…) à partir de simples instructions humaines (prompts). Dans les RH, elle permet notamment de :

• Générer des annonces d’emploi ciblées,
• Automatiser des réponses à des candidats,
• Créer des contenus de formation,
• Préparer des scripts d’entretien ou de feedback,
• Synthétiser des données issues d’entretiens, d’enquêtes ou de rapports RH.

2. Quels usages concrets dans les RH ?

📌 

Recrutement

• Rédaction d’offres d’emploi sur mesure,
• Tri et pré-qualification automatisés de candidatures,
• Génération de réponses personnalisées aux candidats non retenus,
• Simulation d’entretiens grâce à des agents conversationnels.

📌 

Formation et développement

• Conception rapide de modules e-learning ou de microlearning,
• Adaptation des contenus à différents niveaux ou publics,
• Génération de quizz, cas pratiques, mises en situation,
• Chatbots pédagogiques.

📌 

Gestion des talents et des carrières

• Aide à la rédaction d’évaluations, de bilans ou de plans de développement individuels,
• Génération de synthèses pour les comités carrière,
• Support à la GPEC / GEPP via l’analyse automatisée de parcours professionnels.

📌 

Communication interne

• Génération de newsletters RH, messages managériaux, supports de sensibilisation,
• Reformulation de textes pour les rendre plus inclusifs, accessibles ou engageants.

3. Quels bénéfices attendus ?

✅ Gain de temps significatif : pour les tâches rédactionnelles, répétitives ou à faible valeur ajoutée.

✅ Personnalisation à grande échelle : en adaptant les contenus RH aux individus, sans surcoût humain.

✅ Montée en qualité : l’IA générative permet de structurer l’information, de varier les formats et d’améliorer la lisibilité.

✅ Appui à l’innovation RH : l’IA devient un partenaire créatif pour les équipes RH, stimulant l’expérimentation.

4. Quels risques et limites ?

❌ Risque de standardisation : des contenus trop formatés, déshumanisés ou superficiels.

❌ Biais algorithmiques : l’IA apprend à partir de données existantes, donc potentiellement biaisées ou discriminatoires (notamment en recrutement).

❌ Problèmes de confidentialité : attention à l’usage d’outils en ligne avec des données sensibles (données RH, candidats, salariés…).

❌ Perte de sens ou de compétence : si l’IA remplace trop certaines tâches-clés, le jugement humain, l’écoute active ou la créativité peuvent s’atrophier.

5. Quelle posture adopter ?

• Expérimenter en conscience : tester les outils sur des cas simples, en mesurant les effets.
• Former les RH à l’usage de l’IA : pour garder la main, éviter les erreurs et augmenter la valeur ajoutée du métier.
• Garder une éthique forte : l’IA est un outil, pas un décideur. Le discernement humain reste indispensable.
• Impliquer les partenaires sociaux : pour construire un cadre d’usage transparent, respectueux des droits des salariés.

Conclusion : les RH augmentées, pas remplacées

L’IA générative ne remplace pas la dimension humaine des RH. Elle en amplifie les capacités, automatise le fonctionnel, stimule l’innovation… mais elle ne peut pas écouter, sentir, arbitrer avec humanité. La valeur des RH demain viendra d’un juste équilibre entre outils technologiques performants et intelligence humaine incarnée.

Dans un contexte économique marqué par l’incertitude, la pression concurrentielle et la nécessité de concilier performance économique et responsabilité sociale, l’efficience opérationnelle redevient une priorité stratégique pour les organisations. Au-delà de la simple réduction des coûts, elle vise une utilisation optimale des ressources (humaines, techniques, financières) pour maximiser la valeur créée.

1. 

Définir l’efficience opérationnelle : faire mieux avec moins, mais surtout autrement

Contrairement à l’efficacité, qui consiste à atteindre un objectif, l’efficience intègre la notion de rapport entre résultats obtenus et ressources mobilisées. Elle implique donc une démarche :

• D’analyse fine des processus existants,
• De réduction des gaspillages (temps, énergie, doublons, erreurs),
• Et d’optimisation continue, sans compromettre la qualité ni la capacité d’adaptation.

L’efficience opérationnelle suppose une approche systémique, où chaque fonction ou unité contribue à la performance globale.

2. 

Pourquoi l’efficience est-elle devenue critique ?

Plusieurs facteurs expliquent le retour en force de cette thématique :

• Hausse des coûts de production (énergie, salaires, matières premières).
• Pression sur les délais et la qualité de service dans un environnement de plus en plus exigeant.
• Transformation numérique : automatisation, digitalisation, data… ouvrent des opportunités mais nécessitent un pilotage fin.
• Tensions sur le marché du travail : la rareté des compétences renforce l’importance d’une allocation optimale des ressources.

3. 

Les grands leviers de l’efficience opérationnelle

L’efficience repose sur une combinaison de leviers que l’organisation peut activer de manière coordonnée :

🔧 Optimisation des processus

• Cartographie, analyse de la valeur ajoutée, suppression des activités non nécessaires.
• Méthodes Lean, Six Sigma, ou Kaizen pour impulser des dynamiques d’amélioration continue.

📊 Pilotage par la donnée

• Indicateurs en temps réel, tableaux de bord, benchmark interne.
• Culture de la mesure et de la transparence dans les arbitrages.

🤖 Automatisation et digitalisation

• Automatisation des tâches répétitives (RPA, IA…).
• Intégration de solutions collaboratives pour fluidifier les échanges.

💡 Engagement des équipes

• Remise à plat des rôles, montée en compétences, empowerment.
• Management visuel, rituels agiles, responsabilisation.

🔁 Réduction des silos

• Renforcement de la transversalité et du partage d’information.
• Logiques orientées client ou usager.

4. 

Les pièges à éviter

L’efficience mal conduite peut vite se transformer en efficacité à courte vue :

• Des suppressions de postes sans réorganisation profonde.
• Des injonctions à « faire plus avec moins » sans accompagnement.
• Des outils déployés sans adhésion ni appropriation.

L’enjeu n’est pas de faire des économies au détriment des équipes, mais avec elles, dans une logique de création de valeur et de résilience collective.

5. 

Vers une efficience responsable

Aujourd’hui, la recherche d’efficience ne peut se faire sans intégrer :

• La qualité de vie au travail, pour limiter l’absentéisme et le turnover.
• L’impact environnemental, à travers une meilleure gestion des flux, de l’énergie, des déplacements.
• L’impact social, notamment dans le secteur public et l’ESS, où l’efficience permet de maintenir l’offre de services malgré des moyens contraints.

Conclusion

L’efficience opérationnelle ne se décrète pas : elle se construit dans la durée, au plus près du terrain, avec une vision stratégique claire. C’est un acte de gouvernance responsable, qui concilie rigueur de gestion, agilité, et reconnaissance du capital humain comme première ressource de performance durable.

Autrefois cantonnée à la structuration de cours ou de formations en présentiel, l’ingénierie pédagogique est aujourd’hui au cœur des transformations du monde de la formation. Numérique, individualisation, compétences comportementales, hybridation des formats… les ingénieurs pédagogiques doivent désormais conjuguer rigueur méthodologique, innovation, et compréhension fine des apprenants. Plus qu’un simple processus de conception, l’ingénierie pédagogique devient un levier stratégique de transformation des compétences.

1. 

Une discipline structurée, au croisement de plusieurs champs

L’ingénierie pédagogique repose sur une approche systémique, qui articule :

• L’analyse des besoins : des individus, des collectifs, des métiers, de l’organisation.
• La définition d’objectifs pédagogiques clairs, adossés aux référentiels métiers ou de certification.
• La conception de parcours adaptés : contenus, méthodes, modalités, évaluations.
• La mise en œuvre et l’animation, souvent en lien avec des formateurs ou des outils digitaux.
• L’évaluation et l’amélioration continue.

Elle mobilise à la fois les sciences de l’éducation, la psychologie cognitive, le design de formation et la gestion de projet.

2. 

Du programme au parcours : un changement de paradigme

L’approche centrée sur les programmes est peu à peu supplantée par la logique de parcours personnalisés, dans lesquels les apprenants deviennent acteurs. Ce changement implique :

• Une individualisation des modalités (rythme, format, accompagnement).
• Une modularisation pour favoriser l’adaptabilité et les recompositions.
• Une attention plus forte aux prérequis, aux objectifs opérationnels, et aux situations de transfert.

3. 

L’impact du numérique et de l’IA

Le numérique ne se limite plus à un support de diffusion. Il devient une composante intrinsèque de l’ingénierie pédagogique :

• LMS, classe virtuelle, mobile learning, capsules vidéo, podcasts, escape games pédagogiques…
• Usage de l’IA générative pour créer des quiz, résumer des documents, simuler des cas.
• Analyse des données d’apprentissage (learning analytics) pour adapter les parcours et repérer les décrochages.

Mais cette richesse technologique impose une vigilance : ne pas confondre innovation avec gadget, et rester centré sur la pédagogie avant la technologie.

4. 

L’ingénierie pédagogique face aux nouveaux enjeux de la formation

L’ingénierie pédagogique est aujourd’hui appelée à répondre à des défis croissants :

• Former vite et bien, dans un contexte de transformation permanente des compétences.
• Favoriser l’apprentissage informel et l’autoformation (70/20/10, communs de la connaissance…).
• Travailler sur les compétences transversales, notamment comportementales et collaboratives.
• Penser la formation comme un levier de performance globale, pas seulement comme une dépense RH.

Cela suppose de nouvelles postures professionnelles :

• Passer de concepteur à architecte de l’expérience apprenant.
• Collaborer avec les experts métier, les managers, les RH, les communicants.
• Penser l’ingénierie comme un processus vivant, itératif, ajustable.

5. 

Et demain ? Vers une ingénierie pédagogique plus stratégique

Les organisations qui réussiront leurs transformations seront celles qui auront su aligner la stratégie de formation avec leur stratégie d’entreprise. L’ingénierie pédagogique deviendra alors :

• Un outil de pilotage stratégique des compétences.
• Un accélérateur de l’appropriation du changement.
• Un facteur d’engagement des collaborateurs.

Cela implique de renforcer les liens entre ingénieurs pédagogiques, responsables formation, managers de proximité et directions générales.

Conclusion

L’ingénierie pédagogique n’est plus un métier de l’ombre. Elle est appelée à jouer un rôle central dans l’économie de la connaissance. À condition de rester rigoureuse sur le fond, inventive sur la forme, et toujours centrée sur l’impact pour l’apprenant et pour l’organisation.

Le marché du conseil est en pleine mutation. Longtemps perçu comme le domaine réservé de cabinets généralistes intervenant auprès des grands comptes, il s’est progressivement ouvert à de nouveaux acteurs, à de nouveaux modèles économiques, et à des attentes client profondément renouvelées. Loin de se réduire à une simple question d’offre et de demande, cette évolution engage une redéfinition du rôle même du consultant dans un monde en transformation rapide.

1. Une diversification des besoins des entreprises

Face à des environnements économiques incertains, des transitions multiples (écologique, numérique, réglementaire, sociale) et une pénurie persistante de compétences, les entreprises recherchent dans le conseil :

• de la réactivité,
• de la lisibilité des livrables,
• et une capacité à co-construire des solutions activables.

Le conseil « powerpointé », à forte intensité analytique mais à faible taux d’appropriation, est progressivement remis en question. Les entreprises attendent désormais du conseil de proximité, orienté résultat et transfert de compétences, avec une utilité immédiate.

2. Un marché qui se fragmente… tout en se concentrant

Le marché voit émerger plusieurs types d’acteurs :

• Les grands cabinets (McKinsey, BCG, EY, PwC, etc.) conservent une position dominante sur les appels d’offres publics et les projets stratégiques globaux.
• Les cabinets de taille intermédiaire se spécialisent sur des filières (santé, industrie, numérique, RH) ou des types de missions (transformation, qualité, cybersécurité…).
• Une myriade d’indépendants ou de micro-cabinets proposent une expertise ciblée, plus souple, plus accessible, et parfois plus en prise avec le terrain.

Cette recomposition s’accompagne de regroupements, de rachat de cabinets spécialisés et de plateformes de mise en relation entre experts indépendants et clients (Malt, Comatch, LittleBig Connection…), ce qui redéfinit la logique d’accès au marché.

3. Une exigence accrue de mesure d’impact

Les entreprises ne veulent plus seulement “acheter du conseil”, mais obtenir des résultats tangibles. L’époque où l’on achetait des jours/homme est révolue : la demande se structure autour de projets à engagement de résultats, de coaching opérationnel, et d’indicateurs d’efficacité (ROI, adoption, transformation réelle des pratiques…).

Les cabinets sont donc appelés à renforcer leurs capacités :

• de diagnostic stratégique rapide,
• de production de solutions concrètes,
• et de formation des équipes internes pour pérenniser l’impact.

4. Une pression croissante sur les modèles économiques

La hausse des coûts de structure, la pression sur les prix, la montée en puissance du freelancing, et les exigences de transparence des clients poussent les acteurs du conseil à :

• repenser leurs marges et leur valeur ajoutée réelle,
• adapter leurs modes de facturation (forfaits, success fees, abonnements…),
• et développer une offre hybride entre conseil, accompagnement, formation et facilitation.

5. Les grandes tendances à horizon 2025

• L’essor du conseil augmenté : IA générative, outils collaboratifs, automatisation du reporting, visualisation de données en temps réel.
• La montée des enjeux ESG (environnement, social, gouvernance) dans les missions de transformation.
• Le développement d’une logique de partenariat plus que de prestation ponctuelle.
• L’exigence éthique et la transparence renforcée, en réponse à plusieurs scandales récents liés à l’opacité de certains grands cabinets.

Conclusion

Le conseil reste un levier stratégique incontournable, mais son rôle évolue : moins expert omniscient, plus catalyseur, facilitateur, et sparring-partner du changement. Dans ce nouveau paysage, les acteurs capables de faire la preuve de leur utilité concrète, de travailler en mode agile et de co-construire avec les équipes clientes tireront leur épingle du jeu.

Le marché de la formation professionnelle connaît depuis plusieurs années une transformation en profondeur, à la croisée de mutations sociétales, technologiques et réglementaires. Cette évolution ne se limite pas à une adaptation des modalités pédagogiques : elle redéfinit les équilibres économiques, les attentes des bénéficiaires, et le rôle stratégique des organismes de formation comme des entreprises clientes.

1. Une demande en mutation rapide

La montée en puissance des compétences transversales, la digitalisation des métiers, l’hybridation des parcours professionnels et l’obsolescence accélérée des savoirs génèrent une demande de formation plus réactive, personnalisée et finalisée (certifiante, qualifiante, professionnalisante). L’employabilité devient un mot-clé structurant de l’offre comme de la demande.

Les apprenants ne se contentent plus de “suivre une formation” : ils attendent une expérience d’apprentissage utile, contextualisée, valorisable sur le marché du travail, que ce soit via des certifications reconnues (RNCP, blocs de compétences), des badges numériques ou des preuves concrètes de montée en compétence.

2. Une offre plus diversifiée, mais aussi plus concurrentielle

Le marché a vu émerger de nouveaux acteurs, notamment les edtechs, plateformes de microlearning, bootcamps, ou universités d’entreprise. Ces structures, souvent agiles et technophiles, viennent concurrencer les organismes traditionnels en proposant des formats courts, accessibles à distance, avec un suivi automatisé ou tutoré.

Les organismes de formation “historiques” doivent repenser leur modèle économique, leur pédagogie et leur relation client. La logique de “catalogue” s’efface progressivement au profit de logiques de parcours sur-mesure, d’accompagnement individualisé, et de partenariats avec des entreprises ou des branches professionnelles.

3. Un cadre réglementaire plus exigeant

La réforme de la formation professionnelle, amorcée en 2018 avec la loi “Avenir professionnel”, a redéfini les règles du jeu. La certification Qualiopi, désormais obligatoire pour bénéficier de financements publics ou mutualisés, impose aux prestataires de formation des standards qualité stricts.

Par ailleurs, l’évolution du Compte Personnel de Formation (CPF), les nouvelles règles liées à la VAE ou à l’apprentissage, et les exigences des financeurs (OPCO, Régions, Pôle emploi) contraignent les organismes à se professionnaliser fortement, sous peine d’exclusion du marché.

4. Le digital comme catalyseur… et facteur d’exclusion

La numérisation des modalités pédagogiques (classes virtuelles, LMS, adaptive learning, IA générative) ouvre des perspectives enthousiasmantes, mais pose aussi des défis majeurs d’inclusion numérique, de surcharge cognitive, et de standardisation des savoirs. La formation à distance ne peut pas tout, et l’enjeu de l’engagement des apprenants reste central.

5. Quelles perspectives à moyen terme ?

• Une reconnaissance accrue de la formation comme levier stratégique RH, en lien avec la GPEC / GEPP, la marque employeur et la performance des équipes.
• Une bipolarisation du marché : d’un côté des géants très structurés et visibles, de l’autre des microstructures spécialisées ultra-réactives ; au milieu, des acteurs historiques fragilisés.
• Un recentrage sur les enjeux de mesure d’impact, de “learning ROI”, et d’accompagnement au transfert des acquis en situation de travail.

Conclusion

L’évolution du marché de la formation est moins une crise qu’un réalignement : celui des offres, des formats, et des ambitions avec les usages et les besoins réels. Dans ce nouvel écosystème, les acteurs capables d’allier exigence pédagogique, impact mesurable et agilité économique tireront leur épingle du jeu. La formation n’est plus un coût à maîtriser, mais un investissement à piloter avec lucidité et exigence.

Aujourd’hui est un grand jour pour les clients de Back in business – Good sense first ! , nous lançons notre ligne de services serious games et applications smartphones et tablettes Apple / Android !

Avons-nous été racheté par un fonds d’investissements ? Un investisseur institutionnel ou privé se serait-il invité au capital de notre société ?

Point du tout ! Nous restons fidèles à notre modèle agile et indépendant.

Le monde change et nous le prouvons.

Auparavant, une série de barrières à l’entrée empêchait la majeure partie de nos clients d’accéder à 2 éléments incontournables du digital, à savoir :

• les applications smartphones et tablettes interactives ;
• les serious games.

Aujourd’hui, une entreprise se prénomant « start up » qui se baserait strictement sur ces 2 marchés serait juste ridicule…

Pourquoi ?

Parce que désormais, de nouvelles plateformes de type CMS (Content Management System) existent à des coûts ridiculement bas : d’abord, et historiquement, pour la conception de sites web, ensuite pour tout le reste ! 

En somme, plus de barrières techniques, technologiques, le champ des possibles est désormais grand ouvert pour les consultants et autres formateurs disruptifs...

Seul le juste recueil du besoin et la force de propositions / imagination sont désormais le cœur de métier de votre humble fournisseur à votre service. 

Quels avantages ?

• Evitez de perdre du temps avec les fossoyeurs du digital qui revendiquent les moyens technologiques comme seule disruptivité : une application smartphone, tablettes, Iphone / Android, un monde virtuelle soit disant « innovant » sur la base d’un modèle 3D libre de droit daté années 90… Arrêtons le nuage de fumée marketing ! Mettons en exergue notre devoir de conseil et d’innovation au sens littéral du terme.
• Renforcez, en toute efficience, votre relation clients internes (collaborateurs / managers) / externes (fournisseurs et clients finaux) à moindre coûts.
• Instaurez l’interactivité comme une base incontournable : la coproduction numérique en somme.
• Libérez les énergies en mettant à disposition ces nouveaux moyens à de « simples » collaborateurs pour qu’ils créent, innovent au-delà des sentiers battus.
• Eviter d’aveugler les jeunes créateurs de startups sur le " syndrome de la recherche des moyens " plutôt que de la finalité : la clef de la réussite ne réside pas dans la levée de fonds ou dans la technologie mais dans l’idée opérante sur le terrain…

Vous êtes Back in business !

C’est bien connu, comme la culture, certaines start-ups, prestataires de services, organismes de formation ou cabinets conseil se gargarisent de ce terme désormais érodé et bientôt démodé : le digital.

Du marketing, du tweet, du clic : est-ce vraiment cela le digital au sein des organisations ?

Non, non et non !

Aujourd’hui, la technologie est là, mâture, souple, performante et … souvent gratuite et partagée ! Ce qui, sans doute par omission, est souvent éludé par certains marchands du temple souhaitant la rendre captive…

Alors, doit-on encore faire croire aux grands du CAC40, aux petites et moyennes entreprises et au secteur public, qu’il s’agit de payer (parfois très cher) pour profiter du digital ?

Remettons nous en question sur nos pratiques en conseil et formation !

Pour tous les services proposés, il est désormais totalement naturel de proposer du chat en ligne 7/7j. 24h/24. C’est une forme de service après vente incontournable et un service que l’on se doit d’offrir au client final (pour le suivi d’une mission, du tutorat, du coaching, etc.).

En formation, en inter ou en intra, il nous semble désuet de mettre en avant le digital. 

Pourquoi ? Parce qu’il est là depuis déjà quelques années et qu’il suffit de l’utiliser au service de la professionnalisation et de la pédagogie pour adultes.

Concrètement, cela signifie que pas un seul de nos produits n’inclut pas a minima : un mur de tweets, un nuage de mots en direct (live tag cloud/ word cloud), une capsule vidéo pédagogique (avec quizz intégré), un sondage en direct, une image à liens, un online post-it meeting (brainstorming ou remue méninges digital), un jeu de rôles basé sur du scrollitelling, un questionnaire flash, un challenge numérique (online challenge), des co-constructions réelles / virtuelles et plus encore… 

En mission de conseil, nous utilisons également ces solutions dès le démarrage de la mission, pour accélérer certaines séquences, s’adapter à la disponibilité des décideurs, travailler à distance au service d’un projet, du management, de la transversalité.

En somme, ne soyons pas focalisés sur les moyens, mais sur la finalité, sur la qualité et l’efficience de nos missions, plutôt que sur un effet d’esbroufe publicitaire. Le conseil et la formation valent mieux que cela ! 

Robotisation, big data, digital et système expert... Ca vous inquiète ?

Nous, ça nous inspire !

Pourquoi ?

Parce que la transformation des organisations est toujours passée par le progrès technique. Et que le progrès humain en est souvent décuplé.

Seule condition pour que cela fonctionne ?

Des êtres humains motivés, conscients et adultes. Des équipes en mouvement plutôt que transies de peur.

Un facilitant ?

Eviter de dissocier le fond et la forme. La forme, c'est le fond qui remonte à la surface. Or bon nombre de plans de transformation qui voient aujourd'hui le jour comportent un core model " hard " et un volet " soft " d'accompagnement du changement (reposant souvent sur la responsabilité individuelle de chaque collaborateur... plutôt que sur une déclinaison responsable de la stratégie en mouvement...).

A l'heure du digital, de la porosité entre l'interne et l'externe, de la relativité de la temporalité, il est vain de penser que le fait du prince triomphera par le truchement de quelques séminaires de développement personnel.

Emparons nous du sens, inventons la cible via des laboratoires (lab) ouverts et transversaux, réduisons l'incertitude par le lotissement des activités et projets à 3 ans. Investissons dans l'humain et la technique. Prenons l'initiative !

Avez-vous lu le code du travail dans sa partie droit de la formation ? Saine lecture non ;)

Depuis 1971, le millefeuille a grossi, grossi... Jusqu'à en devenir indigeste.

La loi Fillon pour la formation tout au long de la vie avait tenté de répondre aux tendances du nouveau monde relayées par une directive européenne du même nom (DIF, Bilan de compétences, VAE, période de professionnalisation ...).

La dernière réforme du système de la formation professionnelle pour adultes a complexifié et défiguré l'environnement de la formation continue en France depuis une année déjà.

Dernier épisode en date après le CPF ? La qualité totale !

Mais si vous savez bien... celle des années 80 qui cale les armoires... 

La Direccte est désaisie du contrôle, les OPCA en héritent.

L'investissement formation et son évaluation sont depuis 20 ans considérés comme des sujets IMPOSSIBLES à traiter.

En effet, bon nombre de travaux de recherche ont démontré que l'entrée/sortie de l'apprenant dans un dispositif de formation et l'évaluation amont / aval du " stagiaire " ne permettaient pas d'évaluer le gap franchi par ce dernier. Et ce ne sont pas les usines à gaz d'évaluation des compétences et leurs funestes référentiels qui l'y ont aidé d'ailleurs...

Essayez par exemple d'évaluer le retour sur investissement d'une formation à caractère commerciale dans un réseau bancaire. Analysez le chiffre d'affaires vendu avant/après, et d'autres indicateurs multiples. Comment affirmer que la formation aura apporté un quelconque gain au business...

Mais alors que faire me direz vous ?

Arrêter les formations et autres plan de professionnalisation ? Surement pas !

Investir et investir encore dans ce carburant sans en être le comptable ou l'expert ingénieur qualiticien incapable de parler business ! Ca oui et encore oui !

Une vérité qui ne remonte pas jusqu'au sommet semble-t-il aujourd'hui.

" Qu'il est beau mon cahier des charges ! ".

" Qu'il est beau mon PAQ ! " (plan d'assurance qualité)

Vous avez déjà entendu cela de la part d'un de vos expert en gestion de projet ? Cela vous a rendu fou ?

Nous aussi ;)

Il est temps de remettre à sa place les experts qui " noient le poisson " et freinent votre stratégie business, vous êtes vous dit un jour ?

Peut-être que c'est le bon jour pour y aller vraiment... Rêvons un peu...

Un portefeuille de projets lisible et partagé...

Des projets définis à l'aide d'une simple feuille A4...

Des chefs de projets obsédés par les enjeux et non par les risques...

Des contributeurs apportant une aide à la décision...

De la créativité, du sens et de l'action...

L'outil restant à sa place... la hauteur de vue aussi...

Des acteurs responsables et socialisés...

Ne rêvons plus ce monde est arrivé, du moins nos clients y vivent ;)

Le DRH business partner ?

Cela fait bien longtemps qu'on vous assomme  avec ce slogan non ? ;) Depuis les années 90 pour être précis...

A la fois stigmatisant et agaçant pour certains gestionnaires RH, que ridicule dans la bouche et dans la plume de certains marketeux n'ayant jamais vu de près un être humain travailler en ce domaine...

Il s'agit aujourd'hui de dépasser ce terme et d'aller plus loin et surtout plus vite ! Car le talent n'attend pas...

Donnons la chance à la GRH, au capital humain de s'exprimer, en intégrant les différents métiers de la DRH (de la paie jusqu'au développement RH). Arrêtons de cultiver notre jardin à côté du voisin, parlons nous et projetons en avant.

Une approche systémique et projet ? Bien volontiers mais pas au service du moyen mais de la finalité !

Appelez cela cohérence systémique, balance score card, ou GPEC au sens stratégique du terme, comme il vous plaira ! Mais donner à voir du résultat !

Organisez vos équipes sans les siloter : du recrutement aux évaluateurs internes, de la gestion des compétences aux gestionnaires formation (...).

En prenant garde de ne pas crisper les professionnels par une technicisation des enjeux ou un obscur projet d'efficience opérationnel sans sens et donc sans vie...

Pilotez les projets par la demande / les enjeux et non par les risques, le marketing RH, ou la qualité totale.

Faites et faites le savoir simultanément à qui de droit et cela avancera bien mieux que d'étaler dans le énième salon RH que vos objectifs sont l'image employeur, le bien être au travail, la RH digitale, et le big data.

A bon entendeur ;)

Bon nombre de clients nous font part régulièrement de la difficulté d'obtenir un conseil à la fois stratégique et opérationnel. 

En effet, la hauteur de vue ne doit pas pour autant obérer le caractère concret des conseils prodigués. Ces témoignages clients sont sans doute liés à l'échec de certains cabinets à " fabriquer " des talents intégrant l'ensemble de ces compétences... ainsi que de la quasi-impossibilité de faire travailler un stratège, un organisateur, un consultant RH, un consultant en système d'information ensemble ;)

Un exemple ?

Comment mettre en oeuvre un système de gouvernance en mode projet sans être en mesure de conseiller les chefs de projet opérationnels dans leurs difficultés quotidienne ? Sans bâtir des usines à gaz, cela va de soi.

On ne peut dès lors se contenter d'une mention du type : " développer davantage la transversalité " dans un joli slide ! Il s'agit d'être crédible en réalisant des quick wins à court terme.

Seul ce cycle en V court et réussi permettra vraiment de faire la différence auprès d'un DG... et d'un manager de proximité côté client !

Vous êtes manager ou allez le devenir. Vous vous interrogez sur votre style de leadership et sur les moyens de vous améliorer. 

De temps en temps, vous achetez une revue de management pour vous inspirer de quelques fiches actions, mais souvent avec déception découvrez le côté insipide de ces conseils.

Les formations sur étagère en management et leadership vous avez également donné ;)) Les grandes surfaces de la formation trop peu pour vous.

En fait, vous êtes en demande d'authenticité, de sens, d'exemples concrets, voire de livrables librement modifiables à votre sauce.

Vous l'avez peut-être trouvé ici : chez Back in business - Good sense first !

Bonne visite !

Vous aimeriez être consultant ? Ou vous souhaitez vous perfectionner ?

Ce merveilleux métier très exigeant a fortement évolué depuis 20 ans. Nos clients se sont professionnalisés et sont dès lors devenus beaucoup plus exigeants envers nous : courbe de progrès ou spirale infernale du " toujours plus " ?

Vous abordez cette mutation métier, organisationnelle et digitale de façon tout à fait positive ? Et ne concevez pas de souscrire à un plan d'accompagnement industriel et désincarné au regard de votre besoin assez spécifique ?

Orienté business, vous souhaitez progresser en conception / ingénierie d'offres de services, en marketing opérationnel ?

Le commercial vous attire mais vous sentez bien qu'un petit quelque chose vous manque ?

La production se passe bien mais vous ne diriez pas non à quelques trucs et astuces provoquant l'effet " wahou " de vos clients ?

Il vous faut autre chose qu'un diaporama powerpoint et un formateur perroquet qui n'a jamais mis les pieds dans l'opérationnel ! Chaque mois, des personnes comme vous nous contactent pour bénéficier d'autre chose.

Dès lors, nous proposons plus qu'une simple formation : nous mettons à disposition, au sein d'un réel dispositif de professionnalisation au conseil / consulting, un consultant ayant plus de 15 ans d'expérience en conduite effective de missions business (transformation, organisation, management, talent, systèmes, formation) pour, en face à face, vous aider à progresser ! 

C'est bien mais encore ?

D'une part, vous évitez soigneusement les marchands de viande et autres gourous qui sont plus soucieux de vendre que de transmettre ...,

et, d'autre part, notre collaborateur deviendra VOTRE assistant et vous fera bénéficier de méthodes, modèles de livrables, soigneusement markétés, librement modifiables, élaborés sur de vrais missions de conseil ! Pour savoir faire et faire savoir...

Ne cherchez plus !

Vous êtes Backinbiz ;)

Vous faites partie de cette étrange communauté managériale que l'on nomme " transversal " ? En mode projet, business process owner, ou communauté de pratiques, vous naviguez en hors hiérarchie.

Orienté business, vous ne conjuguez pas votre besoin d'accompagnement en mode impersonnel au sein d'un gros organisme de formation un brin poussiéreux. Il vous faut autre chose qu'un diaporama powerpoint et un formateur perroquet qui n'a jamais mis les pieds dans l'opérationnel !

Chaque semaine, des personnes comme vous (dans le secteur public comme le secteur privé) nous contactent pour bénéficier d'autre chose.

Dès lors, nous proposons plus qu'une simple formation : nous mettons à disposition, au sein d'un réel dispositif de professionnalisation opérationnel, un manager transversal ayant plus de 15 ans d'expérience en conduite effective de missions business pour, en face à face, vous aider à progresser et ce, en 2 jours ! 

Oui, mais concrètement ?

D'une part, vous vous épargnez les affres des accompagnements impersonnels et théoriques de gros organismes de formation qui ont mal vieilli,

et, d'autre part, notre collaborateur deviendra VOTRE assistant et vous fera bénéficier de méthodes, modèles de livrables, soigneusement markétés, librement modifiables, élaborés sur de vrais missions de management transversal ! Pour savoir faire et faire savoir...

Ne cherchez plus !

Vous êtes Backinbiz ;)

Vous devenez manager ou souhaitez vous perfectionner / professionnaliser ?

Les gros organismes de formation ne correspondent pas à votre besoin car impersonnels et trop théoriques ?

Quotidiennement, des managers nous contactent directement à ce propos : dès lors nous proposons un accompagnement via un manager ayant plus de 15 ans d'expérience dans le business pour, en face à face, vous aider à maîtriser / améliorer votre propre style de leadership et ce, en commençant par 2 jours d'accompagnement ! 

Qu'est-ce que cela va vraiment m'apporter en terme de professionnalisation sur mon poste de travail et avec mes équipes ?

D'une part, vous évitez de perdre votre temps en grand groupe, au milieu d'inconnus, d'une population hétérogène en terme de niveau qui ne partagent pas vos problématiques, contexte et besoins,

et que, d'autre part, notre expert en management & leadership deviendra VOTRE assistant et vous fera bénéficier de méthodes, modèles de livrables librement modifiables et élaborés sur de vrais missions de conseil en management ! Pour savoir faire et faire savoir...

Ne cherchez plus !

Vous êtes Backinbiz ;)

Vous êtes formateur ou allez le devenir ? Vous avez besoin de concret pour appréhender ce métier passionnant et très exigeant, en pleine transformation ? Les gros organismes de formation vous semblent trop théoriques, pas assez concrets et opérationnels ?

Nous sommes souvent contactés par des formateurs internes ou des universités d'entreprise souhaitant professionnaliser et internaliser la conception et la distribution de contenus pédagogiques en interne. Dés lors, nous leur proposons un nouveau type de prestations : les offres " CONFOR ".

"CONFOR" comme du vrai CONSEIL & de la vraie FORMATION :

un formateur ET consultant de plus de 15 ans d'expérience vous conseillera et formera, en face à face, et vous aidera à maîtriser l'art de former (de la maîtrise du cycle de vie de la formation en entreprise en passant par l'ingénierie de dispositif apprenant, jusqu'à l'animation et l'évaluation de stages et sessions) et ce, à partir de seulement 2 jours d'intervention ! 

Ca se passe comment ?

D'une part, vous ne perdrez pas votre temps à repasser en revue des concepts érodés de plus de 30 ans au sein d'un organisme soit-disant leader du marché ;) ,

et, d'autre part, notre expert deviendra VOTRE assistant et vous fera bénéficier de modèles de livrables, au format électronique, prêts  à remplir (livrables généralement fournis en pdf protégés par nos concurrents...) ! Pour savoir faire et faire savoir...

Ne cherchez plus !

Vous êtes Backinbiz ;)

Vous avez en charge le développement des Ressources Humaines de votre entreprise ? Vous collectionnez les projets Talent / capital humain à court et moyen terme ? L'offre de formation des gros organismes en ce domaine parait inadaptée à votre besoin ?

Nous sommes souvent contactés par vos homologues. Dés lors, nous leur proposons un nouveau type de prestations : les offres " CONFOR ".

"CONFOR" comme du vrai CONSEIL & de la vraie FORMATION :

un consultant de plus de 15 ans d'expérience en développement RH / talent vous conseillera et formera, en face à face, et vous aidera à maîtriser vos missions (de la GPEC, en passant par les entretiens professionnels et autres revues de personnel, jusqu'au plan de formation) et ce, à partir de seulement 2 jours d'intervention ! 

Et concrètement, ca se passe comment ?

D'une part, vous ne passerez pas 2 heures à écouter d'autres participants raconter leurs vies et autres états d'âmes (en introduction d'un stage ;) ),

et, d'autre part, l'expert en management des ressources humaines deviendra VOTRE assistant et vous fera bénéficier de modèles de livrables, au format électronique, prêts  à remplir (livrables généralement fournis en pdf protégés par nos concurrents...) ! Pour savoir faire et faire savoir...

Ne cherchez plus !

Vous êtes Backinbiz ;)

Vous avez en charge un projet de transformation ? Vos délais sont serrés ? La formation standardisée des grandes surfaces de la formation vous indispose ?

Plusieurs fois par mois, nous sommes contactés par des clients qui vous ressemblent. Dés lors, nous leur proposons un nouveau type de prestations : les offres " CONFOR ".

"CONFOR" comme du vrai CONSEIL & de la vraie FORMATION :

un consultant de plus de 15 ans d'expérience en transformation vous conseillera et formera, en face à face, et vous aidera à maîtriser votre projet aussi délicat soit-il et ce, à partir de seulement 2 jours d'intervention ! 

Qu'est ce que cela signifie pour vous ?

Que d'une part, vous ne subirez pas les affres d'un formateur perroquet ou d'un consultant anglo-saxon sans épaisseur,

et que, d'autre part, cet expert en transformation deviendra VOTRE assistant et qu'il vous fera bénéficier de modèles de livrables, au format électronique, prêts  à remplir (livrables généralement fournis en pdf protégés par nos concurrents...) ! Pour savoir faire et faire savoir...

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Vous êtes Backinbiz ;)

Vous aimez atteindre vos objectifs ? Votre temps est précieux ? Vous ne vous sentez pas concerné par les formations théoriques des gros organismes de formation ?

Chaque semaine, vos pairs nous contactent pour ces raisons. Dés lors, nous leur proposons un nouveau type de prestations : les offres " CONFOR ".

"CONFOR" comme du vrai CONSEIL & de la vraie FORMATION :

un consultant de plus de 15 ans d'expérience vous conseillera et formera, en face à face, vous aider à maîtriser votre juste niveau de reporting / tableau de bord au regard de votre besoin et ce, en seulement 2 jours ! 

Concrètement cela veut dire quoi ?

Que d'une part, vous échapperez aux formations creuses récitées par des formateurs perroquets au sein des gros organismes de formation industriels,

et que, d'autre part, cet expert deviendra VOTRE assistant et qu'il vous donnera des modèles de livrables, au format électronique, prêts  à remplir (livrables généralement fournis en pdf protégés par nos concurrents...) ! Pour savoir faire et faire savoir...

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Vous êtes Backinbiz ;)

Vous êtes orienté business / métier avec le sens du résultat ? Les formations des gros organismes de formation vous paraissent à raison trop standardisées, asseptisées ? 

Très souvent, de nouveaux clients nous contactent pour ces raisons. Dés lors, nous leur proposons un nouveau type de prestations : les offres " CONFOR ".

CONFOR comme CONSEIL & FORMATION :

il s'agit d'une mise à disposition d'un consultant ayant plus de 15 ans d'expérience en management  du changement pour, en face à face, vous aider à maîtriser votre mission/projet et ce, en seulement 2 jours ! 

Qu'est-ce que cela veut dire dans la vraie vie opérationnelle ?

Que d'une part, vous ne passerez pas votre temps à dévorer des viennoiseries dans une salle de formation aussi jolie soit elle ;) ,

et que, d'autre part, cet expert deviendra VOTRE assistant et qu'il mettra à votre disposition des modèles de livrables prêts  à remplir (généralement fournis en pdf protégés par nos concurrents) ! Pour savoir faire et faire savoir...

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Vous êtes Backinbiz ;)

Vous êtes orienté business et en avez assez des formations délivrées par les grandes surfaces de la formation. Un formateur perroquet qui n'a jamais été en poste opérationnel, ce n'est pas ce qu'il vous faut !

Régulièrement, ce type de besoin nous conduit à mettre en oeuvre plus qu'une simple formation : nous mettons à disposition un consultant ayant plus de 15 ans d'expérience en conduite effective de projet business pour, en face à face, vous aider à maîtriser votre projet et ce, en 2 jours ! 

Qu'est-ce que cela veut dire concrètement ?

Que d'une part, vous ne perdez pas votre temps à " taper le carton " avec des personnes que vous ne connaissez pas et qui ne partagent pas vos problématiques, contexte et besoins,

et que, d'autre part, cet expert deviendra VOTRE assistant et vous fera bénéficier de modèles de livrables librement modifiables et élaborés sur de vrais missions de management de projet ! Pour savoir faire et faire savoir...

Ne cherchez plus !

Vous êtes Backinbiz ;)

Point de vue et plan d’action Back in business – Good sense first ! #Organisme de formation #inter / #intra #entreprise & #cabinet #conseil #stratégie opérationnelle – #management – #talent management

Chers clients, chers confrères (c’est vrai que certains sont vraiment chers ;) ),

Lorsque nous entendons certains acteurs, parmi les plus gros et encore bien  gras, se réjouir du futur « nettoyage du marché de la formation professionnelle » (sous entendant que nombre d’organismes mettront la clef sous la porte), nous ne l’entendons pas de cette oreille. Nous passerons sur la condescendance profondément choquante de cette allégation mensongère et d’une resucée du paradigme Gros vs Petits sous entendant que la qualité est industrielle, et que l’artisanat n’est qu’improvisation dans notre secteur… et que les 2 sont irrémédiablement irréconciliables. Qu’un ou 2 champions nationaux valent mieux que plusieurs milliers d’emplois. Tout ceci en s’asseyant sur plusieurs milliards d’euros…

Trop facile messieurs les dinosaures ! Les ficelles sont trop grosses pour ne pas les voir et vous répondre que Back in business va de l’avant.

Tirons quelques leçons du passé et passons à l’action !

Leçon n°1 : Réforme = échec si moyens > finalités

En cette fin de premier trimestre 2015, il est temps de dresser un premier bilan de la énième Réforme de la Formation Professionnelle. Les résultats sont, sans surprise alarmants pour les institutionnels, pour les entreprises et les individus :

  Ø  Taux d’inscription des individus à leur compte CPF : 12,5% de la population  

            mère.

  Ø  Taux de demande de CPF : 0,3% des personnes concernées.

  Ø  Taux d’acceptation d’une demande CPF : à peine 1% des demandes ont été

            acceptées.

Autant dire que l’on peut encore se féliciter de notre efficience et de notre sens du résultat !

Il faudrait, selon les experts, plusieurs années, pour s’habituer. Une question dès lors nous taraude chez Back in business, a-t-on laissé plusieurs années aux secteurs du textile et autres industries en perdition pour s’adapter aux exigences du marché et du business ?... La réponse, dans l’actualité…

Leçon n°2 : qu’en pensent nos clients ?

Pendant ce temps, les entreprises nagent dans l’inconnu mais pas dans le même environnement : toujours l’effet « have » vs «  have not » :

  Ø  les enfants chéris de la formation : grandes entreprises et autres cadres, volent à 10 000 pieds au dessus de cette réforme spécifiquement locale et hexagonale. Un investissement formation de 5% de la masse salariale restera toujours un investissement même si une obscure obligation fiscale vient à être supprimée dans un des pays de la world company. D’autres chantiers sont depuis longtemps entrepris en interne pour faire face et répondre aux exigences du business.  

  Øles PME et TPE regardent leurs OPCA en chien de faïence : me rembourseras tu encore tout ou partie de mon Plan de Formation dis ? S’il te plait montre moi ton référentiel CPF, je te dirai si j’investis (en évitant les formations longues diplômantes et certifiantes : car j’ai encore besoin de mes collaborateurs à leur poste de travail, formation tout au long de la vie ok mais faut pas pousser la plaisanterie trop loin hein ?!…)

Et si nous tirions une leçon de l’échec du DIF et de son cortège d’usine à gaz ?

Chez Back in business, nous avons décidé d’oublier purement et simplement cette Réforme, d’oublier le CPF, et d’être encore et toujours Back in business – Good sense first !

Inconscient ? Pas tout à fait.

Opportuniste ? Sans doute, le business est notre ADN et c’est également celui de nos clients. C’est rassurant.

Avant gardiste ? Nous sommes certains que le futur nous donnera raison.

Leçon n°3 :  bousculons les règles du jeu et jouons !

Revenons aux dinosaures en cure d’amaigrissement, dégradant leur marge et paupérisant les petits free-lances qui pullulent dans notre secteur (vous savez ceux qui n’ont pas de catalogue ni de numéro d’agrément de la DIRECCTE, ce sésame allant d’ailleurs visiblement se raréfier, coïncidence ?...)

Trop facile messieurs les dinosaures ! Les ficelles sont trop grosses pour ne pas les voir et vous répondre que Back in business va de l’avant :

  Ø  vos marges se réduisent en France, vous tentez l’aventure internationale

            comme relai ? Grand bien vous fasse !

Mais ne comptez pas sur nous pour vous laisser place libre. Les consultants et formateurs se paupérisent grâce aux majors de la formation à l’image, il y a un temps de l’industrie phonographique. Nous n’attendrons pas le retour de l’âge d’or de la formation en présentiel à l’image du revival du 33 Tours pour agir ou qu’un nouveau venu, comme dans les télécoms, viennent rafler la mise (intérim, ou spin off de cabinets anglosaxons véritables marchands de viandes de vacataires, à la limite du code du travail, coquille vide constituée d’un catalogue de services, d’un DAF et d’un responsable du staffing de ressources free-lances aux abois).

Voici des faits et des actions :

  Ø  une formation en présentiel en intra-entreprise (souvent un produit inter-démarqué) vaut-elle aujourd’hui 1600 euros Ht / jour (avec coûts de conception pour sucrer les fraises) hors frais de transport et d’hébergement des consultants ? Loin de là : faisant fi des intermédiaires, des directions générales, des staffs marketing et autres responsables de gammes n’ayant jamais travaillé opérationnellement et concrètement avec un client ni même formé en vrai, nous proposons au marché un prix de 1 160 euros ht par jour d’intervention en intra. Pas de coûts de conception additif pour les formations du catalogue, c’est la moindre des choses ! Gratuité des frais de transport et d’hébergements de nos consultants (dont nos clients n’entendront jamais parler).

  Ø Halte aux formateurs perroquets : nos consultants sont tous des anciens opérationnels de plus de 15 ans d’expérience.

  Ø  Une formation inter justifie-t-elle une logistique industrielle digne de l’armée de terre (marketing, centre d’appels, reprographie de classeurs, salles en propre, …) : point du tout et nous le prouvons avec notre catalogue à -30% des prix des dinosaures. L’agilité ? Peut être (ce concept a tellement été usité par les cabinets conseil pour vendre la même soupe que nous évitons désormais de l’employer), mais surtout très Good sense first ! (le bon sens avant tout, notre chère devise).

En plus de ce positionnement prix offensif, nous ne ferons pas de Low Cost mais de la High Quality ainsi que de l’innovation pédagogique et digitale. Entendons nous bien, celle qui marche ! Pas de Mooc et autres acronymes dont les modèles économiques sont encore à trouver messieurs les marketeurs.

Notre assistance en ligne «  C’est décidé je garde mon job ! 100% virtuelle / 100% proximité » répond à un besoin concret de collaborateurs se battant chaque jour pour gagner leur pain dans des contextes et environnements de travail devenus souvent toxiques.

Nos missions de conseil en stratégie opérationnelle, management et talent management sont là également pour asseoir le fait que nous ne nous endormirons jamais sur un back catalog et une rente de situation.

Vive le conseil, vive la formation, vive Back in business – Good sense first !