Point de vue et plan d’action Back in business – Good sense first ! #Organisme de formation #inter / #intra #entreprise & #cabinet #conseil #stratégie opérationnelle – #management – #talent management
Chers clients, chers confrères (c’est vrai que certains sont vraiment chers ;) ),
Lorsque nous entendons certains acteurs, parmi les plus gros et encore bien gras, se réjouir du futur « nettoyage du marché de la formation professionnelle » (sous entendant que nombre d’organismes mettront la clef sous la porte), nous ne l’entendons pas de cette oreille. Nous passerons sur la condescendance profondément choquante de cette allégation mensongère et d’une resucée du paradigme Gros vs Petits sous entendant que la qualité est industrielle, et que l’artisanat n’est qu’improvisation dans notre secteur… et que les 2 sont irrémédiablement irréconciliables. Qu’un ou 2 champions nationaux valent mieux que plusieurs milliers d’emplois. Tout ceci en s’asseyant sur plusieurs milliards d’euros…
Trop facile messieurs les dinosaures ! Les ficelles sont trop grosses pour ne pas les voir et vous répondre que Back in business va de l’avant.
Tirons quelques leçons du passé et passons à l’action !
Leçon n°1 : Réforme = échec si moyens > finalités
En cette fin de premier trimestre 2015, il est temps de dresser un premier bilan de la énième Réforme de la Formation Professionnelle. Les résultats sont, sans surprise alarmants pour les institutionnels, pour les entreprises et les individus :
Ø Taux d’inscription des individus à leur compte CPF : 12,5% de la population
mère.
Ø Taux de demande de CPF : 0,3% des personnes concernées.
Ø Taux d’acceptation d’une demande CPF : à peine 1% des demandes ont été
acceptées.
Autant dire que l’on peut encore se féliciter de notre efficience et de notre sens du résultat !
Il faudrait, selon les experts, plusieurs années, pour s’habituer. Une question dès lors nous taraude chez Back in business, a-t-on laissé plusieurs années aux secteurs du textile et autres industries en perdition pour s’adapter aux exigences du marché et du business ?... La réponse, dans l’actualité…
Leçon n°2 : qu’en pensent nos clients ?
Pendant ce temps, les entreprises nagent dans l’inconnu mais pas dans le même environnement : toujours l’effet « have » vs « have not » :
Ø les enfants chéris de la formation : grandes entreprises et autres cadres, volent à 10 000 pieds au dessus de cette réforme spécifiquement locale et hexagonale. Un investissement formation de 5% de la masse salariale restera toujours un investissement même si une obscure obligation fiscale vient à être supprimée dans un des pays de la world company. D’autres chantiers sont depuis longtemps entrepris en interne pour faire face et répondre aux exigences du business.
Øles PME et TPE regardent leurs OPCA en chien de faïence : me rembourseras tu encore tout ou partie de mon Plan de Formation dis ? S’il te plait montre moi ton référentiel CPF, je te dirai si j’investis (en évitant les formations longues diplômantes et certifiantes : car j’ai encore besoin de mes collaborateurs à leur poste de travail, formation tout au long de la vie ok mais faut pas pousser la plaisanterie trop loin hein ?!…)
Et si nous tirions une leçon de l’échec du DIF et de son cortège d’usine à gaz ?
Chez Back in business, nous avons décidé d’oublier purement et simplement cette Réforme, d’oublier le CPF, et d’être encore et toujours Back in business – Good sense first !
Inconscient ? Pas tout à fait.
Opportuniste ? Sans doute, le business est notre ADN et c’est également celui de nos clients. C’est rassurant.
Avant gardiste ? Nous sommes certains que le futur nous donnera raison.
Leçon n°3 : bousculons les règles du jeu et jouons !
Revenons aux dinosaures en cure d’amaigrissement, dégradant leur marge et paupérisant les petits free-lances qui pullulent dans notre secteur (vous savez ceux qui n’ont pas de catalogue ni de numéro d’agrément de la DIRECCTE, ce sésame allant d’ailleurs visiblement se raréfier, coïncidence ?...)
Trop facile messieurs les dinosaures ! Les ficelles sont trop grosses pour ne pas les voir et vous répondre que Back in business va de l’avant :
Ø vos marges se réduisent en France, vous tentez l’aventure internationale
comme relai ? Grand bien vous fasse !
Mais ne comptez pas sur nous pour vous laisser place libre. Les consultants et formateurs se paupérisent grâce aux majors de la formation à l’image, il y a un temps de l’industrie phonographique. Nous n’attendrons pas le retour de l’âge d’or de la formation en présentiel à l’image du revival du 33 Tours pour agir ou qu’un nouveau venu, comme dans les télécoms, viennent rafler la mise (intérim, ou spin off de cabinets anglosaxons véritables marchands de viandes de vacataires, à la limite du code du travail, coquille vide constituée d’un catalogue de services, d’un DAF et d’un responsable du staffing de ressources free-lances aux abois).
Voici des faits et des actions :
Ø une formation en présentiel en intra-entreprise (souvent un produit inter-démarqué) vaut-elle aujourd’hui 1600 euros Ht / jour (avec coûts de conception pour sucrer les fraises) hors frais de transport et d’hébergement des consultants ? Loin de là : faisant fi des intermédiaires, des directions générales, des staffs marketing et autres responsables de gammes n’ayant jamais travaillé opérationnellement et concrètement avec un client ni même formé en vrai, nous proposons au marché un prix de 1 160 euros ht par jour d’intervention en intra. Pas de coûts de conception additif pour les formations du catalogue, c’est la moindre des choses ! Gratuité des frais de transport et d’hébergements de nos consultants (dont nos clients n’entendront jamais parler).
Ø Halte aux formateurs perroquets : nos consultants sont tous des anciens opérationnels de plus de 15 ans d’expérience.
Ø Une formation inter justifie-t-elle une logistique industrielle digne de l’armée de terre (marketing, centre d’appels, reprographie de classeurs, salles en propre, …) : point du tout et nous le prouvons avec notre catalogue à -30% des prix des dinosaures. L’agilité ? Peut être (ce concept a tellement été usité par les cabinets conseil pour vendre la même soupe que nous évitons désormais de l’employer), mais surtout très Good sense first ! (le bon sens avant tout, notre chère devise).
En plus de ce positionnement prix offensif, nous ne ferons pas de Low Cost mais de la High Quality ainsi que de l’innovation pédagogique et digitale. Entendons nous bien, celle qui marche ! Pas de Mooc et autres acronymes dont les modèles économiques sont encore à trouver messieurs les marketeurs.
Notre assistance en ligne « C’est décidé je garde mon job ! 100% virtuelle / 100% proximité » répond à un besoin concret de collaborateurs se battant chaque jour pour gagner leur pain dans des contextes et environnements de travail devenus souvent toxiques.
Nos missions de conseil en stratégie opérationnelle, management et talent management sont là également pour asseoir le fait que nous ne nous endormirons jamais sur un back catalog et une rente de situation.
Vive le conseil, vive la formation, vive Back in business – Good sense first !